Après la bûche de Noël, je vous présente l'endroit où je vais chercher mes sapins de Noël. 
On y trouve de très grands sapins, et celui-ci pourrait bien faire l'affaire...

Bon, ils sont un peu grands, mais tellement majestueux, pas facile pour accrocher les boules...

Au fait, connaissez-vous la tradition du sapin de Noël ?

Cette tradition est très lointaine, même plus que Noël lui-même. Les Romains décoraient les sapins en l'honneur de Saturne, Dieu de l’agriculture et c’est plus ou moins à cette époque que l’on a commencé à décorer les sapins. Les Druides quant à eux avaient l’habitude de décorer les branches de chênes avec des pommes dorées pour les fêtes.

Selon la légende entre 2000 et 1200 avant JC, on parlait déjà d’un arbre (l’épicéa, arbre de l’enfantement), le jour du 24 décembre, puisqu’on considérait ce jour comme la renaissance du soleil. Les Celtes avaient adopté un calendrier basé sur les cycles lunaires. A chaque mois lunaire était associé un arbre, l’épicéa fut celui du 24 décembre. Pour le rite païen du solstice d’hiver, un arbre symbole de vie était décoré avec des fruits, des fleurs et du blé.

En 354, l'église institue la célébration de la naissance du Christ, le 25 décembre, pour rivaliser avec cette fête païenne. Initialement la célébration de Noël se résumait à la messe de la nativité. Au XIième siècle, l'arbre de noël, garni de pommes rouges symbolisait l'arbre du paradis. Au XIVième siècle, les décorations étaient composées de pommes, de confiseries et de petits gâteaux. L'étoile au sommet de l'arbre, symbole de l'étoile de Bethléem commença à se répandre.

Ce sont les protestants en 1560 qui développèrent la tradition du sapin de noël pour se démarquer des catholiques. Au XVIIième siècle apparaissent les premiers sapins illuminés. On utilisait des coquilles de noix remplies d'huile à la surface desquelles des mêches flottaient ou des chandelles souples nouées autour des branches. Ces lumières représentaient la vie et la foi…

Revenons-en à mes sapins qui n'en sont pas vraiment...
Ce sont en fait, de magnifiques Séquoias "Sequoiadendron giganteum" que l'on peut admirer dans le parc du Château de Rambouillet.

Il  en reste une "mini forêt" car la plupart de ces géants n'ont pas résisté à la tempête de 1999.

Comme il est impossible de se rendre compte de la dimension réelle sur une photo, j'ai demandé à ma petite femme "Arielle78" de se mettre à côté d'un arbre isolé pour mieux en apprécier la hauteur, que j'estime à plus de 35 m.

Celui-ci a un périmètre de 11 m donc un diamètre de 3,5 m à la base,
imaginez un peu la tronçonneuse du bûcheron !

Malheureusement, il est impossible de vous retransmettre
le gigantisme de ces magnifiques arbres en photo.

Quand on est à l'interieur de cette forêt de géants, on est comme dans une cathédrale de verdure.

Les arbres qui sont en lisière de cette "mimi forêt" déploient d'énormes branches tellement grosses et lourdes qu'elles viennent toucher le sol.

Une légère odeur d'anis se dégage des feuilles lorsqu'il fait très chaud

Ce qui surprend aussi, c'est la couleur très rougeâtre de l'écorce. Cette écorce est fibreuse, spongieuse,  très caractéristique, elle peut atteindre 60 cm d'épaisseur sur les très gros arbres (elle protège l'arbre en cas d'incendie).

Un Séquoia californien est crédité de 3 800 ans d'âge.
Là, au moins, quand on plante un arbre, c'est pour les générations futures...

Son nom, « séquoia », vient du chef indien See-Quayah, inventeur de l'alphabet cherokee.

Le séquoia (de la famille des Taxodiacées) est le plus grand et le plus gros arbre de la planète, devant le baobab, gros mais de taille réduite. Une coupe de la base séquoia de plus de 2000 ans est conservée au Muséum National d'histoire naturelle de Paris.

Aujourd'hui, le séquoia existe à l'état naturel que dans les montagnes Rocheuses situées à l'Ouest de l'Amérique du Nord. Il a été acclimaté en Europe depuis 1853..

Leurs pommes, de la taille d'un gros oeuf de poule, peuvent rester vertes vingt ans, attachées aux branches, sans s'ouvrir. Il leur faut des conditions particulières qui ne sont réunies que dans leur habitat naturel pour pouvoir germer.

Le feu joue un rôle important dans le renouvellement des séquoias. Il élimine les buissons, jeunes pins et autres arbres sans détruire les séquoias adultes qui sont protégés par leur écorce fibreuse. Ainsi, le sol est enrichi en matière minérale et la compétition pour la lumière est supprimée. La chaleur dégagée par les feux de forêt permet également l'ouverture des pommes de séquoias. La dispersion des graines survient alors au moment où le sol est idéal pour la germination.

Le plus gros spécimen connu est le « General Sherman », dans le "Sequoia National Park" états-Unis d'Amérique, haut de 83 m pour une circonférence de 30 m, un volume de 1 400 m³ et un poids estimé à plus de 1200 tonnes.

J'ai la chance d'avoir à côté de chez moi ces géants magnifiques très impressionnants.
Je me devais de vous en faire profiter.

Je vous souhaite à tous de très bonnes fêtes de fin d'année...

Avec la petite éclaircie météo d'hier, 
j'ai fait un petit tour dans ma belle forêt pour choisir une bûche de Noël...

J'en ai trouvé quelques unes qui devraient bien tenir jusqu'au nouvel an...

Bon, ok ! elles sont un peu grosses, on va plutôt prendre celles-ci

Au fait, connaissez-vous la tradition de la bûche de Noël ?

La coutume voulait que, la veille de Noël, on aille chercher une énorme bûche de bois franc, appelée bûche de Noël, et qu'on la rapporte à la maison en grande pompe. Le soir de Noël, le maître de maison la plaçait dans l'âtre, procédait à des libations, en arrosant le tronc d'huile, de sel et de vin cuit et récitait des prières de circonstance.

Dans certaines familles, c'était les jeunes filles de la maison qui allumaient la bûche avec les tisons de celle de l'année précédente, qu'on avait pris soin de conserver précieusement. Cette coutume, remontant au XIIe siècle, avait cours dans la plupart des pays européens, notamment en France et en Italie, où la bûche de Noël était appelée "Il ceppo di Natale".

Au Québec comme en France, cette tradition a perduré jusqu'au dernier quart du XIXe siècle. La disparition de cette tradition coïncide avec celle des grands âtres, remplacés progressivement par des poêles de fonte.

La grosse bûche fut alors remplacée par une petite bûche de bois, parfois rehaussée de chandelles et de verdure, qu'on plaçait au centre de la table comme décoration de Noël. Aujourd'hui, la bûche de Noël est devenue une pâtisserie traditionnelle, succulent gâteau roulé, glacé de crème au café ou au chocolat et décoré de feuilles de houx et de roses en sucre. Ce délicieux dessert aurait été inventé par un pâtissier en 1945.

Enfin tout ça pour vous présenter une des activités des Yvelines, l'exploitation forestière de ma région. La Forêt de Rambouillet ou forêt d'Yvelines, est un important massif boisé de plus 20 000 ha, dont 14 550 ha de forêt domaniale, situé dans les Yvelines (78) sur le territoire de 29 communes.

Elle s'étend sur 35 km entre Orgerus et Béhoust au nord et Rochefort-en-Yvelines au sud. C'est une relique d'une antique forêt beaucoup plus étendue, la forêt de l'Yveline qui ceinturait Paris jusqu'à la Seine au nord, et rejoignait la forêt d' Orléans au sud.  Une partie de la forêt se trouve dans le Parc naturel régional de la haute vallée de Chevreuse. Le peuplement en est constitué principalement de chênes, à hauteur de 68 %, et de résineux (pin sylvestre et pin laricio) pour 25 %.

Pour la forêt de Rambouillet, les prélèvements de ces vingt dernières années et ceux prévus pour les vingt années futures sont proches de l’accroissement naturel de 4 m3 par hectare et par an.

Savez-vous combien de temps en moyenne il faut pour faire un chêne exploitable?
Chaque année, les glands des chênes tombent au sol à partir de l'automne...

Ceux qui n'ont pas été mangés par les sangliers, écureuils, etc... finissent par germer au printemps, et ceux qui survivent au cerf ,chevreuil, oiseaux, etc... finissent par faire de jeunes arbres... La forêt de Rambouillet est en régénération naturelle à plus de 95%.

Pour faire un arbre exploitable il faut plus de 100 ans, sur celui-ci il y a plus de 160 stries donc, il a plus de 160 ans...

C'est le forestier de l’ONF ( L'office National de la forêt) qui gère la forêt, sélectionne et marque les chênes adultes qui seront commercialisés sur pied à partir de l'automne. La coupe se fait lorsqu'il n'y a plus de montée de sève dans l'arbre. (La sylviculture est l'art de gérer la ressource forestière).

Les arbres sont repérés à la peinture, numérotés et le sceau donnant l'autorisation d'abattage est placé au plus bas de l'arbre. Sur cette photo, on peut le voir en dessous du point rouge au pied de l'arbre.

Regardez de plus près...
L'écorce est enlevée et le sceau de l'ONF est apposé à l'aide d'un marteau spécial...

L'abattage de l'arbre se fera par le bûcheron juste au dessus du sceau...

Cette marque doit toujours être visible après l'abattage de l'arbre. Souvent les bûcherons font une flèche pour que l'on puisse la retrouver plus facilement. Il est interdit de couper en dessous, cela permet de vérifier que l'arbre qui a été abattu était bien celui faisant partie de la coupe.

Après l'abattage le houppier est trié pour faire du bois de chauffage. C'est l'ensemble des parties aériennes d'un arbre, à l'exception de la base du tronc (le fût). Le houppier désigne donc les branches, les rameaux d'un arbre. Une fois coupé à environ 2m on appelle cela des billons..

Après l'abattage et les découpes, il faut procéder au débardage, c'est-à-dire rassembler les grumes sur un emplacement accessible aux camions grumiers qui les transporteront à la scierie.

C'est avec des grumes comme celles-ci que sont fabriqués les meubles en chêne.

Certaines peuvent faire plusieurs tonnes...

Le bois de chauffage est mesuré en stère. Un stère de bois est égal à un volume de un mètre de haut, sur un mètre de long, sur un mètre de large, donc un mètre cube non plein.

Il est important de savoir qu’un marchand de bois de chauffage à qui vous avez commandé un stère de bois coupé en 50cm ne vous livrera pas un stère complet si vous l’empilez et le mesurez !!!  on  s'attend à trouver 1m3 une fois empilé alors qu' il y en a moins... C’est tout à fait normal, il est inutile de le traiter de voleur… Car en fait le stère est calculé sur du bois coupé en un mètre .

Plus on recoupe des bûches, plus le volume apparent est susceptible de diminuer, il y a forcément moins de trous  donc moins de perte dans le mètre cube non plein. Il est donc raisonnable de compter qu’un stère de bois de chauffage coupé en 50cm ne vous donnera pas un mètre cube non plein, mais plutôt 0,80.
C’est tout à fait honnête et admis dans le code forestier.
1 stère en bûches de 100 cm de long: 1 m³
1 stère en bûches de 50 cm de long: 0,80 m³
1 stère en bûches de 33 cm de long: 0,70 m³
1 stère en bûches de 25 cm de long: 0,60 m³

Dernier point, plus le bois est sec plus la combustion dégage de chaleur, d’où l’importance accordée au temps de séchage et à la façon dont celui-ci a été fait, l’idéal étant un bois ayant de 18 à 24 mois de coupe. Un bois fraîchement coupé contient environ 75 % d’eau. Il risque de provoquer la formation de bistre et de goudron dans le conduit de fumée avec tous les inconvénients que cela comporte. Et surtout un risque important de feu de cheminée.

Voilà, vous savez à peu près tout ce que je sais de la forêt...
En conclusion, la forêt combat le réchauffement climatique et contribue à la biodiversité et à la qualité des sols et de l’eau. De plus c'est une ressource naturelle, renouvelable, biodégradable.
Aujourd'hui le bois est devenu un écomatériau par excellence.

Ce post est un petit hommage à tous les gens qui exploitent et entretiennent notre belle forêt.

Je vous souhaite à tous un très joyeux Noël !

Le salon du cheval se tient en ce moment à  "Paris-porte de Versailles",
je vous présente  mon 
"petit salon du cheval perso".

Les Yvelines est un vrai département consacré au cheval avec ses 40 000 cavaliers,
ses 200 établissements équestres, ses 20 000 licenciés...

Le département des Yvelines est le premier en France
par le nombre de cavaliers licenciés à la Fédération Française d'Équitation.

Entrainement, d'un trotteur sur l'hippodrome de Rambouillet

Dans la région, on trouve de nombreux parcours d'entrainement pour le "cross". 

Dans un parcours de cross, le cheval peut être confronté à n'importe quelle fantaisie
tout droit sortie de l'esprit inventif d'un juge ! Il est bon de connaître les principaux obstacles qui peuplent un parcours de cross pour ne pas être soi-même surpris...

Une réelle volonté de sauvegarder les races de chevaux de traits existe dans ma région.

On peut trouver de nombreux terrains de polo dans les Yvelines...

Le département dispose d'un centre CEZ de formation aux métiers du cheval,
situé au coeur de la "Bergerie Nationale de Rambouillet".
(CEZ centre d'enseignement zootechnique)

De nombreuses compétitions d'attelage ont lieu partout...

Les Yvelines... Un paysage merveilleux aux portes de Paris !

Présentation des cavaliers et des chevaux du "RAID YVELINES BAHREÏN CUP de Rambouillet". Une sélection pour le Mondial des 7 ans Amateur et Pro 1 GP de 90Km, et la grande course Amateur et Pro Élite GP de 160Km dans la forêt de Rambouillet.

Le cheval dans les Yvelines a un grand pouvoir économique puisqu'un tiers des revenus agricoles
est lié au milieu du cheval (céréales, fourrages, pensions, élevages...).

L'attelage est une discipline qui revient de plus en plus...

Le "Haras des Bréviaires" comme les 20 autres Haras nationaux sélectionnent,
améliorent et conservent les races équines depuis plus de trois décennies.

Maisons-Laffitte est exclusivement réservé aux purs sangs et aux professionnels des courses. Le centre d'entraînement des chevaux de course est une île secrète, verte et sablonneuse, au coeur de laquelle le rituel de l'entraînement fait éclore, chaque année, des cracks-chevaux, princes couronnés sur les hippodromes, portant loin et glorieusement la bannière de la Cité du Cheval.

L'hippodrome de Rambouillet est principalement dédié aux courses de trot.

Le "78" est un éco-département qui, avec ses massifs forestiers (Saint-Germain-en-Laye et Rambouillet) et ses vastes plaines agricoles, offre des espaces privilégiés pour la pratique des sports et des loisirs de pleine nature : randonnée, endurance, horse ball, attelage, courses...

Le département dispose de nombreux gîtes d'étape équestres de toutes tailles..

Le Département des Yvelines a sû préserver ses racines rurales.

De nombreuses compétitions d'endurance se font au départ et sur l'hippodrome de Rambouillet.
Ici le départ du raid Yvelines de 90Km pour jeunes chevaux.
Sélection pour le Mondial des "7 ans Amateur de 90Km".

Avec ses 376 kms de chemins de randonnée dédiés à l'équitation,
le département  des Yvelines est vraiment consacré "au cheval"...

Le développement de l'équitation scolaire offre des activités autour du cheval,
randonnée, attelage, éthologie à plus de 30 000 jeunes par an...

Les concours d'attelage sont des évènements sportifs très spectaculaires.

Dans le département, on trouve une très belle sélection de chevaux.

Une des participantes à "l'enduro-cheval 2008 de Rambouillet".

Alors, il est pas beau mon territoire "CHEVAL" ???

L'hiver arrivant à grands pas, il est temps de mettre les jardiniers au chaud près d'un bon feu,
et de rêver que la floraison de leurs plantations soit encore plus belle que les bulbes qu'ils ont plantés.

A regarder de plus près, je les trouve très photogéniques...

Au fait...
C'est quoi un bulbe ?

Un bulbe est une pousse souterraine verticale disposant de feuilles modifiées utilisées comme organe de stockage de nourriture par une plante en dormance.

Avant toute période d’activité, précédant la floraison le bulbe est en dormance, une période pendant laquelle le bulbe est en repos. Elle se manifeste par un quasi-arrêt ou ralentissement des phénomènes vitaux et s'accompagne d'une plus grande résistance aux conditions ambiantes.

D'autres types d'organes de stockage, tels que les rhizomes, et les truffes sont parfois appelés par erreur des bulbes. Le nom correct pour ce type de plante est "géophyte".

Le bulbe est formé d'un bourgeon entouré de feuilles rapprochées et charnues. Ces feuilles sont remplies de réserves nutritives permettant à la plante de reformer chaque année ses parties aériennes.

Les bulbes à floraison printanière se mettent en terre entre septembre et novembre, voire début décembre.

Les bulbes à floraison estivale se plantent après les dernières gelées, au printemps.

Au début de l'été, plantez les bulbes à floraison automnale et hivernale.

Pour retarder la période de floraison, il est possible de prolonger la plantation jusqu'à mi janvier.
Ne jamais planter en terre gelée.

En principe, les bulbes doivent être plantés à une profondeur égale à deux ou trois fois leur hauteur.
Autrement dit, un bulbe de 5 cm de haut doit être planté à au moins 10 cm de profondeur, côté pointu en haut évidemment.

Selon les variétés choisies, les besoins en soleil seront plus ou moins importants. Généralement, la plupart des bulbes de printemps préfère le plein soleil mais certains peuvent aussi très bien s'accommoder d'une situation à mi-ombre.

Les plantes à bulbes se plaisent dans tous les types de sol, à l'exception des sols extrêmement humides.

Comme les bulbes n'aiment pas avoir les pieds dans l'eau, un bon drainage est d'une importance primordiale.

Si vous plantez vos bulbes dans une pelouse, sachez que vous devrez conserver le feuillage
après défloraison et tondre autour jusqu'à jaunissement des feuilles, sous peine de ne plus avoir de
floraison les années suivantes.

Quand les feuilles des bulbes sont complétement jaunes deux choix sont possibles:

- Soit, couper les tiges au ras du sol et laisser les bulbes dans la terre. Il faut savoir, que certaines variétés sont moins vivaces  que d'autres et dégénéreront au bout de quelques années.

- Soit, déplanter les bulbes, supprimer les feuilles, bien secouer pour enlever un maximum de terre.
Ne jamais laver les bulbes. Supprimer les petits bulbes qui se sont formés autour du bulbe principal.

Les bulbes fleurissant au printemps peuvent rester en terre plusieurs années. Mais il faut retirer ceux qui fleurissent en été.

Plantez à l’automne les bulbes à floraison printanière (crocus, iris, narcisse, perce-neige, tulipe, anémone, jacinthe..)  assez tôt pour que leurs racines aient le temps de pousser avant les gelées. Seules les tulipes peuvent être plantées jusqu’en décembre.

Plantez au printemps lorsque les fortes gelées ne sont plus à craindre, les bulbes à floraison estivale et automnale glaïeul, bégonia, dahlia, iris, lys….

Les rongeurs, en règle générale, adorent les tulipes. Mettez bien vos bulbes à l’abri.

Et voila, tout ce que je sais sur les bulbes... 
Je retourne me mettre au coin du feu...

On met toujours en valeur ce qu'il y a "sur terre"...
Pourquoi, ne pas mettre aussi en valeur
ce qui se trouve "sous terre"...